Maurice TRINTIGNANT
Enzo Ferrari n'était guère aimé des pilotes, On l'appelait Al Capone
« Un pilote, c'était un numéro, quand un de ses pilotes se tuait, il mettait sa photo sur son bureau pendant huit jours et puis c'était terminé ».
« Un pilote, c'était un numéro, quand un de ses pilotes se tuait, il mettait sa photo sur son bureau pendant huit jours et puis c'était terminé ».
Aldo Gordini ?
« C'était zéro. Au point de vue mentalité, zéro, au point de vue pilote, zéro aussi ! »
« Avec Behra, nous n'étions pas copains du tout et ce n'est pas quelqu'un que j'estimais. »
« Amédé Gordini n'avait pas la capacité d'être directeur d'écurie, il était un travailleur acharné, couché tard, levé tôt, très gentil garçon, mais pour le reste...
Il cherchait par tous les moyens de l'argent et il disait qu'il fallait l'aider, tout l'argent qu'il gagnait sur la France ça partait en Italie. Il avait un compte de la banque de Bologne surchargé de l'argent Gordini. »
« Dino Ferrari, c'était un pauvre garçon !
Il avait des complexes, on parlait avec lui et puis d'un coup, il s'effondrait ».
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