Jacques HENRY FranceRETOUR A LA TABLE DES MATIÈRES
1969: 3e Championnat de France des Rallyes
1971: Vice-champion de France des Rallyes
1974: Champion de France des Rallyes, Cat Gr4 et 5
1974 Champion de France des Rallyes
1975: Champion de France des Rallyes
1963 école de pilotage
Chronologie des châssis
Courses de cotes
1964 Cooper
1965 Renault Gord 1100
1966 Porsche, Ford Cortina
1967 Cooper
1970 Alpine A110
1971 Porsche, Alpine A110
1972 Porsche 910
1973 Lola
1974 Alpine A110, Lola T294
1975 Alpine A110, Lola Gr6
1976 Lola Gr6
1977 Chevron Roc
1986 R5 Turbo
1987 R5 Turbo
Rallyes
1964 Simca, DB Panhard, Ondine
1965 Renault Gord 1100
1966 Cooper, Ford Cortina
1967 Cooper, Alpine A110
1968 Alpine A110
1969 Alpine A110
1970 Opel, Alpine A110
1971 Alpine A110
1972 Renault
1973 Alpine A110
1974 Alpine A110, Champion
1975 Porsche 911, Alpine A110, Champion
1976 Porsche 911, Alpine A110
Accident au Monté Carlo sur A310,
Un accident de la circulation un mois plus tard affaiblie sa passion de la course
1980 Porsche 911
1981 Porsche 911
1983 Porsche 911, 930
1987 R5 Turbo
1987 R5 Turbo
1988 R5 Turbo
Circuits
1969 Alpine A110
1970 Alpine A110
1971 Simca
1972 Porsche 911
1973 Porsche 911
Glace
1972 Alpine A110
1973 Alpine A110
1988 Citroen BX
Endurance
1972 Porsche
1973 Lola, Alpine
1974 Lola, Chevron
1975 Lola
1977 Chevron
1978 Chevron
Endurance 2 litres
1973 Lola
Engagements en endurance
Châssis Lola
1973 Henri, Stalder, Grobot
Intégral...ement
Je n'aime pas l'A 310, je me sens mieux sur la berlinette. Je crois que cette voiture est loin d'être au bout de sa carrière. Avec un moteur 1950 CCJe suis sûr que l'on peut encore s'offrir quelques victoires...
Ce que je veux et ne peux pas faire, c'est courir après un titre, comme je l'ai fait en 1975. Je dois faire tourner mon garage et il faut être là, sinon c'est l'échec à tous les coups...
Pour le tour auto, je n'avais rien prévu, Thiry m'a proposé de partir avec lui sur sa Porsche Gr 5. J'ai accepté. Puis il n'a pas pu partir pour des problèmes de boulot.
La voiture était engagée, il eût été dommage de la remiser au garage. J'ai téléphoné à Pierre-Étienne Grobot pour sauter dans son pantalon et d'arriver le plus vite possible pour prendre le départ. J'ai gagné sans rien préparer, alors qu'en 1975, j'ai perdu en ayant méticuleusement préparé.
Avec Alpine, on était vraiment copains, mais j'ai toujours été un client peut-être privilégié. J'ai souvent bénéficié de l'assistance et même pour ma dernière saison du championnat, ils m'ont
Prêté et entretenu les moteurs.
Quand j'ai rencontré Cheinisse je marchais bien, mais je n'avais plus de freins. Un grand type est venu me voir pour me féliciter. Naturellement, je lui ai parlé de mes problèmes de freins et il m'a répondu :
"Arrêtez-vous à l'assistance alpine !"
"Vous croyez cela, vous, qu'il suffit de s'arrêter à l'assistance alpine ?" lui ai-je demandé.
"Vous leur dites que c'est moi qui vous envoie"
"Oui qui êtes-vous ?" C'était Jacques Cheinnisse.
Pourquoi ne pas être devenu pilote d'usine ?
Je n'ai jamais voulu devenir "pro" il en a été question un moment, mais il fallait que je quitte Lure et ma station- service pour venir habiter plus près.
