Jean Marc ANDRIE
France
1976 il est journaliste pour un magazine de sport automobile.
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Co-pilote
Rallyes
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Ford Sierra
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et encore |
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Rallyes TT
Porsche 959
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1983 à 1985, il est au service compétition de Renault, division Formule 1
À savoir
Marc est un enfant bourgeois, son père est chirurgien, il a donc la vie facile, cela explique peut-être son suicide.
Marc est un enfant bourgeois, son père est chirurgien, il a donc la vie facile, cela explique peut-être son suicide.
En 1975, le week-end, il fait office d'aide mécano dans le team F3 de Bernard Chevanne et passe ses soirées en semaine à rédiger des articles pour "Scratch".
Il est censé être à Paris pour suivre des études d'ingénieur, mais cela ne l'emballe pas !
Il est censé être à Paris pour suivre des études d'ingénieur, mais cela ne l'emballe pas !
Jean Ragnotti cherche un équipier, il s'adresse au journaliste Pierre Pagani, ce dernier persuade Andrié de copiloter "Jeannot l'Alpin" ce dernier accepte, coup d'essai et coup de maitre.
En 1982, il rejoint Renault F1 et devient responsable course client entre 1983 et 1985 et assiste au début de Bugalski.
Mais, comme toutes les passions, elle est l'étincelle de la vie, après 1998 il ne court plus et se laisse aller dans le lit vert de la déprime, il choisit de se donner la mort.
En début de saison, il avait refusé de copiloter Loubet son ami, pourtant il n'était heureux que dans le baquet de droite et lors des "reco". En dehors, son mal de vivre est évident.
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