
France
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Chronologie des châssis
Repères

Il sera père à l'âge de 18 ans.
Le circuit me semblant une discipline trop onéreuse, je me suis orienté vers le rallye en acquérant une R8 Gordini dès que j’ai gagné ma vie en 1968.
En 1970, Opel mettait sur pied un trophée récompensant les pilotes utilisant un modèle de la marque. J’ai donc vendu la « Gord' » pour acheter une Kadett Coupé Rallye 1900 qui m’est revenue à 8 200 francs (1 250€) prête à courir. J’ai remporté, à son volant, 11 victoires de groupe, dont trois au scratch, j’ai gagné le Trophée Opel National et j’ai été sacré Champion de France National devant le regretté Thierry Sabine.
Le pécule amassé grâce aux primes Opel m’a permis d’acheter une Commodore GS/E groupe 1 au Greder Racing et d’envisager, toujours amateur, de disputer le Trophée 71, mais en International cette fois pour progresser.
Notre collaboration s’est soldée par de nombreuses victoires de groupe et au scratch avec en point d’orgue un titre de Champion de France en 1974
En 77, Opel BP Marseille a mis fin à ses activités, mais Opel France a continué à me soutenir, m’offrant même la possibilité d’abandonner mon job au CEA au sein duquel une restructuration m’imposait de choisir entre le labo et les rallyes.
Pendant 3 saisons, j’ai écumé les rallyes au volant de la Kadett GT/E en tourisme de série, remportant à chaque fois la catégorie et une place de vice-champion de France en 78 malgré le handicap de puissance.
Opel a alors décidé de me faire courir en groupe 2 puis en groupe 4, mais les résultats n’ont pas suivi.
À la suite de ce bon résultat, il m’a été proposé de tenter, le championnat d’Europe 1983 avec la 037 d’une écurie privée (Volta-Eminence)".
Slim Arzour fait une erreur (Eminence sponsor de Clarr) et claque la porte, J Louis porte le chapeau et ne se relève pas de l'échec, Opel dispose désormais de gros budget, GM donne ses dollars à Opel Allemagne qui choisit Guy Frequelin, Clarr écœuré quitte le rallye.
"Je gère un petit hôtel à Hyères, dans le Var. De 1968 à 1978, j’ai mené de front ma profession d’ingénieur chimiste au Commissariat à l'Énergie Atomique et ma carrière sportive".
"Je suis né et j’ai longtemps vécu à Sainte-Geneviève-des-Bois, à quelques kilomètres de l’autodrome de Linas Monthléry où j’ai assisté avec mon père à quelques courses qui m’ont fait aimer le sport automobile dès mon plus jeune âge.
Ses parents sont des commerçants aisés.
Enfant, Jean-Louis reste allongé un an, il a des rhumatismes articulaires.
Mon père, trop tôt disparu, aimait les autos, conduisait très vite et très bien et m’a donné le goût de la vitesse dès mon plus jeune âge, au point de lui subtiliser la Versailles familiale dans laquelle il m’avait laissé pour faire des emplettes alors que je n’avais pas 10 ans.

En 1970, un ami cours sur une Opel Kadett,
ensuite…
ensuite…


Mes plans ne se sont pas réalisés, car j’ai été contacté par le concessionnaire Opel de Marseille qui avait mis sur pied un Team de rallye et qui m’a proposé de piloter une de ses autos. Je n’avais rien à débourser pour courir.

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Ma collaboration avec Opel a donc cessé
Libéré par Opel France, j’ai eu l’opportunité de courir le Tour Auto 82 avec une Lancia 037 officielles fraîchement homologuée et j’ai apporté à la marque une de ses premières victoires en groupe B.

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"Là encore, le nerf de la guerre manquait pour être compétitif, assez dégoûté, j’ai mis fin à ma carrière après seulement 2 épreuves catastrophiques tant au point de vue sportif qu’humain".
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