La R1 Gordini se vend aussi bien que des clarinettes à la sortie d'un cimetière.
En réalité, l'essentiel n'est pas de l'acheter, mais de la revendre... Invendables, car pas populaires
Certaines ont terminé leurs vies dans des conditions délicates, aux bons soins des assureurs.
Les pilotes touchaient des cotes dites "réparation" lorsqu'une voiture avait été accidentée.
Certains pilotes n'hésitent pas à accidenter juste après l'achat leur "12" pour justifier de cette "cote" de réparation… et ajuster les trains avant à sa guise.
En cherchant bien, il doit bien rester des "12" qui nagent dans certains fleuves, trop difficile de s'en débarrasser
Un pilote n'arrivait pas à vendre sa 12 Gord avec laquelle il avait disputé la coupe. En désespoir de cause, il la remet en configuration d'origine.
Un acheteur est intéressé, mais il exige que la voiture soit parée des stickers de la coupe Gordini.
Notre pilote rajoute les autocollants, va livrer la voiture, mais comme c'est la dernière fois qu'il la conduit, il décide de la piloter, donc d'attaquer.
Un dérapage, une roue dans le fossé, tonneaux...
L'assureur refusera de rembourser la voiture équipée d'un arceau et couverte de stickers. Elle devait disputer des courses, ce pour quoi elle n'est pas assurée.
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