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PALMARES
1976: 3e Formule Monza
1977: 3e Formule Monza
1978; Champion Formule Italia
1979: Vice-champion F3 Italie
1980: 3eme F3 Italie
1980: Champion d’Europe F3
194
Grand Prix disputés
5 victoires
2 pôles positions
1985,
2eme du championnat du Monde F1
1997
victoire au 24 heures du Mans
2000, 3e des 24 heures du Mans
8 victoires en voitures de sport
Formule 3
1976
1977 March
1978 March
1979 March 2eme
1980 March, champion d'Europe
Rallyes
1979 Fiat 131 (tour d'Italie)
1980 Lancia Beta (tour d'Italie)
Endurance
1980 Lancia
1981 Lancia
1982 Lancia
1983 Lancia
1995 Ferrari 333
1996 Ferrari 333 et Porsche Joest
1997 Ferrari 333, Cougar, Porsche Joest
1997 Remporte les 24 heures du Mans sur Porsche Joest
1998 Porsche Joest
1998 Pilote d'essai sur l'Audi R8
1999 Audi R8
2000 Audi R8, 3eme aux 24 heures du Mans
2001 Audi R8, Lamborghini GT
Accident mortel sur le circuit du Lausizring
Formule 2
1981 March et Minardi
1982 Minardi
Formule
1
1981 Tyrrell
1982 Tyrrell
1983 Tyrrell
1984 Ferrari
1985 Ferrari 2eme
1986 Ferrari
1987 Ferrari
1988 Ferrari
1989 Tyrrell et Larrousse
1990 Arrows
1991 Arrows
1992 Arrows
1993 BMS Scudéria Italia
1994 Minardi
Tests
1980 Williams F1 (Presse)
1985 March indy (pour Ferrari)

1994 Benetton F1
1995 Lola Cart
1997 Cougar Sport
Irl
1996 Lola, Reynard
1997 Reynard
Michele Alboreto
Date de naissance : 23 décembre 1956
Lieu de naissance : Milan, Italie
Décès : 25 avril 2001, Lausitzring (Allemagne) Michele Alboréto est daltonien
Fils d'un instituteur à l’âge de 10 ans, M Alboreto dévore les magazines spécialisés
De formation dessin industriel avec un ami, il décide de concevoir une Formule Monza du nom de CMR
À l'âge de 20 ans, il s'achète une voiture, mais il ne peut courir avec car il est daltonien, il obtient tout de même sa licence et entre dans l'écurie Salvati.
Alboreto commence par le sport automobile dans les années 1970. En 1978, il devient champion d’Italie Fiat‑Abarth (Formule Italia) en signant neuf victoires.
En 1979, il participe à la Formule 3, terminant 6ᵉ du championnat d’Europe et 2ᵉ du championnat d’Italie. En 1980, il est champion d’Europe de Formule 3 (quatre victoires dans la saison) avec la March‑Alfa Romeo.
Parallèlement à ses engagements en monoplace, il court en voitures de sport (endurance, prototypes) avec Lancia dans le championnat du monde des voitures de sport.
Formule 2
Il débute en Formule 1 en 1981, au Grand Prix de Saint‑Marin, au volant d’une Tyrrell. Il court pour plusieurs équipes : Tyrrell (1981‑1983), Ferrari (1984‑1988), Larrousse, Arrows / Footwork, Scuderia Italia, Minardi.
en 1988 Ferrari lui préfère Nigel Mansell, il ne se remettra pas vraiment de ce départ forcé.
1989 Michèle quitte le team Tyrrell, pour une question de sponsors ; à cette époque Tyrrell se bat contre des soucis financiers, Michèle est soutenue par Marlboro et Camel souhaite placer ses pilotes, exit Alboréto.
1994 Le triste Grand Prix d'Imola est une succession de catastrophes, dont celle de Michèle, à la sortie des stands, il perd une roue arrière mal fixé, celle-ci s'envole dans les tribunes spectateurs, bilan 6 blessés, depuis ce jour la vitesse dans les stands est limitée à 80 km/h
Après la F1, Alboreto participe aux championnats de voitures de tourisme et d’endurance.
En 1995, il court en DTM (Deutsche Tourenwagen Masters) avec une Alfa Romeo 155 V6.
Il s’oriente ensuite vers l’endurance : il remporte les 24 Heures du Mans 1997 en tant que pilote de la TWR‑Porsche, aux côtés de Stefan Johansson et Tom Kristensen.
En 2001, il gagne les 12 Heures de Sebring avec l’Audi R8, associée à Rinaldo Capello et Laurent Aïello.
En fait, Michele essais en vue des 24 heures du Mans sa nouvelle voiture, des essais axés sur les hautes vitesses stabilisées, sa voiture roule sur des débris et provoque une crevaison lente fatale, après un tête-à-queue le proto effectue plusieurs tonneaux arrachant l'arceau de sécurité.
La voiture qu’il devait piloter aux 24 heures du Mans 2001 termine 2ᵉ.
Le 25 avril 2001, Michele Alboreto décède tragiquement lors d’essais avec l’Audi R8 sur le circuit de Lausitzring (Allemagne). La cause probable de l’accident est une crevaison du pneu arrière gauche, provoquant une perte de pression progressive et la sortie de piste à très haute vitesse (~320 km/h).
L’accident est survenu dans une ligne droite : la voiture s’est envolée, est retournée, puis a percuté les barrières.
Sa dernière course




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