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Chronologie des châssis
Rallyes
1971 Ford Capri, GT40, Porsche 911
1976 Alpine A110
Courses de cotes
1970 Porsche 914
1973 Porsche 911
Circuits
1971 Porsche 911
1973 Ligier JS2
1971 Ford capri
1972 Ligier JS2
1973 Ligier JS2
Historic
1999 Lola et Marcadier
2002 Marcadier
À retenir
C'est d'ailleurs lors de la construction du Paul Ricard que JP Paoli rencontre Marc Cerneau de chez BP... nous connaissons la suite avec le BP Racing lorsque JP Paoli quitte le circuit Paul Ricard...
1969 : Paoli entre au circuit Paul Ricard, il y sera directeur un an plus tard, ceci jusqu'à 1971, Paul Ricard lui offre l'école de pilotage qu'il a fondé
Entre 1972 et 1974, il court avec Jacques Lafitte et devient son manager jusqu'à ce qu'il entre chez Ligier, il aidera également Tico Martini.
Il est l'éminence grise de Ligier, le mentor de Lafitte, depuis leurs années FR
1972 : Le rôle de Jean-Pierre Paoli est celui d'organisateur, et déjà, c'est une réussite totale, avec des moyens, une équipe structurée sous la forme du B.P. Racing, une présentation remarquable du matériel, l'usage de la Martini MK8; avec une identification très aboutie des autos, et le résultat sportif est à la hauteur de cette réussite marketing.
Jean-Pierre Paoli est le second pilote et le troisième Claude Michy. À ce stade, on pense que Paoli sera un gentleman driver, un "aimable" participant.
Il assimile la "logique" de la course qu'il va se hisser au premier plan comme pilote, devant un Michy plus expérimenté. Paoli devient carrément un brillant second pilote, capable de "bouffer" des points à la concurrence.
Et en 1972, cette concurrence est rude, avec l'équipe Elf qui s'appuie sur le constructeur Alpine, dont le champion est Alain Cudini; concurrence qui aboutit au titre de champion de France (titre le plus important), de peu, pour Laffite, et titre international pour Cudini
Malheur au vaincu, Laffite est parti vers la F.1, Cudini n'y accèdera jamais, même si sa carrière professionnelle fut belle, longue et prolifique.
En 1973, la F3 pour le binôme Laffite-Paoli, avec le titre et la victoire à Monaco.
En 1974, la F2 avec des March, revue par Tico Martini et Monsieur Roy de Matra (en perruque) une victoire pour Laffite, une seconde place pour Paoli
En 1973, la F3 pour le binôme Laffite-Paoli, avec le titre et la victoire à Monaco.
En 1974, la F2 avec des March, revue par Tico Martini et Monsieur Roy de Matra (en perruque) une victoire pour Laffite, une seconde place pour Paoli
Et Laffite débute en F.1 chez Williams...
Parallèlement, Laffite est intégré à l'équipe Ligier B.P. d'endurance, de quoi étoffer son approche du sport auto ; il y entraîne Paoli au Mans en 1973, lequel y pilotera de son côté une Daytona du N.A.R.T. en 1974, avec le soutien de B.P.
Parallèlement, Laffite est intégré à l'équipe Ligier B.P. d'endurance, de quoi étoffer son approche du sport auto ; il y entraîne Paoli au Mans en 1973, lequel y pilotera de son côté une Daytona du N.A.R.T. en 1974, avec le soutien de B.P.
En 1975, fin de la dream team du B.P. Racing, Laffite continue en F. 2 avec la Martini ORECA Elf en devenant champion d'Europe, 2ᵉ du G.P. d'Allemagne au Nurgirgring.
Dès lors, Paoli n'est plus pilote, mission accomplie (Laffite en F.1) en 3 ans, il est directeur du team March France
1975 FR pour Cudini, Gaillard, Rosich
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Jacques Laffite qui sortait de deux années difficiles m’a suggéré, compte tenu des qualités d’organisateur qu’il me prêtait, de monter une écurie avec lui. Je suis donc allé voir Marc Cernaux pour lui présenter notre projet. Il m’a demandé quel était le budget dont nous avions besoin. On avait évalué avec Jacques ce qu’il nous faudrait.
Et là Marc Cernau me répond : « Non, vous visez trop juste, vous ne vous en sortirez pas. Je vous donne le double et je suis sûr que je vais gagner de l’argent parce que convaincre Paul Ricard de faire un circuit de F1 comme celui que vous avez fait !…
Avec l’aide de BP nous avons donc monté notre équipe. L’année d’après Jacques a gagné la Formule Renault, moi j’ai fini 4e. Ensuite on a fait de la F3, je crois qu’on a été 1er et 3e au championnat. Puis on a fait de la F2, j’ai gagné au Mugello mais ensuite ma voiture a été détruite, alors qu’elle se trouvait en panne sur un accotement à Karlscoga, par une voiture de tourisme. En ce qui me concerne, j’avais 30 ans et j’avais fait le tour de mon sujet. La F1 m’intéressait bien sûr mais ça ne s’est pas fait. Et l’idée initiale était surtout d’aider Jacques.
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Paoli Philippe fils
Formule Renault
1981 Martini
1981 Martini
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