MEP
Maurice
Emile PEZOUS
France
RETOUR A LA TABLE DES MATIÈRESRien n'est plus important que le chiffre 7, il impose des côtes métriques multiples de 7, il construit 7 MEP de route, le matin, il mange 7 pruneaux, il baptise ses autos "Daphné 7" Daphné est le symbole de la couronne de laurier des vainqueurs.
MEP ou Maurice Émile Pézous est le fils d'un imprimeur, Émile est le prénom de son grand-père 1er automobiliste Albigeois.
Il est le mécanicien de la famille Toulouse-Lautrec
Il est le mécanicien de la famille Toulouse-Lautrec
Maurice Emile est ingénieur aux Arts et métiers, il effectue des essais en vol pour l'aérospatiale, En 1938 il entre comme ingénieur chez Hispano Suiza, il y réalise un moteur à 4 temps sans soupapes et à distributeur rotatif…
Démobilisé en 1941, il rentre, mais refuse de retourner chez Hispano sous les ordres de Daimler-Benz, il décide de s'engager dans la résistance, ou il participe aux études des chars AMX 13.
À la libération, il est mobilisé dans l'aéronavale, sur un projet de lutte contre les sous-marins, avant de retourner à la vie civile en 1945.
À la libération, il est mobilisé dans l'aéronavale, sur un projet de lutte contre les sous-marins, avant de retourner à la vie civile en 1945.
En 1948 il ouvre une concession Fargo Chrysler, il construit également une voiture de tourisme.
Mais fou amoureux de Citroën, en 57 il est concessionnaire de la marque, il va jusqu'à créer les monoplaces MEP, la même année, il invite M Trintignant pour un essai, la voiture est décrite comme "terriblement peu efficace".
M Pezous reçoit chez lui lors du GP d'Albi les plus grands pilotes de l'époque, Fangio, Clark Gonzales, Trintignant, les écuries dont BRM, Lotus…
Mais fou amoureux de Citroën, en 57 il est concessionnaire de la marque, il va jusqu'à créer les monoplaces MEP, la même année, il invite M Trintignant pour un essai, la voiture est décrite comme "terriblement peu efficace".
M Pezous reçoit chez lui lors du GP d'Albi les plus grands pilotes de l'époque, Fangio, Clark Gonzales, Trintignant, les écuries dont BRM, Lotus…
IL DEMANDE A Raoul Rodat son mécano de créer une monoplace, Trintignant essais cette dernière qui a 4 pneus neufs, il part en bout de piste, fait cirer les pneus, chauffe et tourne en rond, pour rendre ces derniers lisse, M Pezous avait enlevé les vieux pneus pour qu'un pilote de classe internationale puisse rouler sur des pneus neufs
1966 : Citroën accepte de prendre en charge une série de 20 monoplaces réglées à 50% avec BP, en 68 BP se retire et est remplacé par Total et Michelin, les 20 monos sont présentées place de la Concorde a la FFSA qui les reparties dans les ASA pour former des jeunes pilotes.
Pezous rêve de Formule 1, la MEP CITROËN NSU ( moteur 6 cyl en V )
MEP X1 moteur Ami 6 de 25 chevaux
MEP X2 flat-twin Panhard "tigre" de 850 cm³
MEX XP 27 moteur GS de 1015 cm³
MEP X2 flat-twin Panhard "tigre" de 850 cm³
MEX XP 27 moteur GS de 1015 cm³
Les MEP révèlent des pilotes comme R Dubos, A Couderc, G Lesgourgues, H Labedan, D Morello, G Pilet, A Ch Verney, G Thiévin, JD Raulet, M. Dubois, M Régal, P Piget, Ph Jaffrenou
La formule n'offre aucune débouchée, une organisation dite "légère" d'après les pilotes et peu fiable, puis la crise pétrolière, un manque de soutien de Citroën, la disparition de R Cotton
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