Jacques COULON
"BISON FUTE"
France
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1969 Champion de France des circuits
1970 Vice-champion de Formule France
1970 Remporte le Critérium des circuits
1972 3eme F3 GB
1974: 3eme Formule 2
9 victoires en Formule Renault
Chronologie des châssis
Il est vrai qu'il en a marre d'être considéré comme un fou sur les routes, alors il décide de s'engager en course.
Son rêve est de rouler à 200 km/h en ville, comme Pau, pour cela, il se prépare en prenant trois stages de pilotages à Magny Cours, mais faute d'argent, il doit arrêter.
Il ne voulut jamais lâcher son métier d'enseignant (prof d'électronique dans un IUT). Il privilégie une certaine tranquillité, un certain recul par rapport aux évènements.
Il aborde la course en PRO, il conserve son âme d'amateur.
Agrégé de physique de l'École Normale Supérieure à 24 ans, il embrasse une carrière d'enseignant et découvre la course.
Il achète une R8 Gord et s'inscrit dans une école de pilotage. Ensuite, il se lance dans le "Coupe" sa voiture préparés par un "pro" est contrôlé non conforme et radié à vie de la coupe.
Alors, il s'engage en Formule France et devient la grande révélation. Il pilote en 1969 en circuit sur une Alpine et avec Grac avec une structure désorganisée.
En 1970, il devait logiquement être champion avec Martini, un 1er accident à Magny Cours (la chaine barrant la piste faillit le décapité) puis au "Ricard" ou il défend ses chances jusqu'au moment où une mono se met en travers devant la sienne, il réalise un looping et abandonne.
Il continue en F3, il finit derrière M Leclère, avec cette mono il se permet de battre les Anglais chez eux (Brand Hatch)
Puis, il accède en F2 et retrouve Jarier, Depailler, Mass...
Le toujours Prof est le meilleur des débutants, victoire à Vallelunga et il termine 5e du championnat.
C'est là que sa carrière bascule, il est alors semi-officiel March en 1974 son matériel n'est pas au niveau des Depailler, Stuck... Sans budget, la saison est une "Cata"
Il redescend en Formule Renault grâce à H Mader avant d'être incorporé au team Motul 1976.
1977 avec un petit budget, Jacques revient en FR Europe, l'année suivante, il revient en Formule 3 il termine 2ᵉ au "Ricard" derrière Piquet, mais devant Prost, de Césaris,
Johansson...
Ensuite, il est véliplanchiste, il fabrique des robots afin de concourir dans les rencontres universitaires Européennes, il a mené à plusieurs reprises ses étudiants au firmament international.
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