"Kansas City Flash"
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1961: remporte les 1000 km du Nurburgring
1965: Remporte les 24 heures du Mans
1966: 2e des 1000 km de Monza
1970: 3e aux 12 heures de Sébring
16 départs 24 Heures du Mans
Chronologie des châssis
Engagements en endurance
Châssis Allard
1953 Gregory, Newcorner
Châssis Jaguar
1953 Gregory, Duncan
Sa famille est aisée, son père fit fortune dans le monde des assurances, mais à
l'âge de 3ans Masten perd son père, sa maman vend la société.
La mère de Masten met ses enfants à l'abri du besoin. Le 1ᵉʳ fils, Ridelle
disputera quelques courses automobiles, mais Masten pourtant myope, fera
carrière.
Marié à l'âge de 19 ans, il fréquente l'atelier de course de son beau-père,
père, d'un
certain Dale Duncan.
Bien vite, il devient
célèbre pour sa bravoure en course. Il court avec une Allard puis une Jaguar C
puis Bob Said le prend comme équipier sur une Ferrari 750 Monza jusqu'au jour
où Porsche lui confie une 550 usine.
C'est en 1957 que
Ferrari lui propose de piloter en endurance et Masérati en Formule 1, le jeune
Grégory était l'idole d'un certain Jim Clark.
Il est vrai que les acrobaties de Masten avaient de quoi séduire, lorsqu'il
sentait que les freins ne répondaient plus, il sautait de sa voiture juste
avant l'impact...
En 1959, il est 3ᵉ pilote chez Cooper pour épauler Brabham, une saison écourtée
par son accident de Goodwood. Malheureusement, Cooper ne renouvelle pas son
contrat. Ferait-il de l'ombre à Jack ?
"Lucky" Casner fait courir Grégory, il rejoindra UDT-Laystall, Lotus,
Lola...
Son père George Bryant joue les sponsor, en effet, la mère de Masten s'est
remariée avec un homme riche et amoureux des courses. Il finance une BRP pour
Indianapolis, en 1966, il ne se qualifie pas.
Ensuite, il sera de l'aventure Ford au Mans avec Jh Wyer...
1970 sera sa dernière saison complète, en endurance chez Autodelta (Alfa
usine). L'année suivante, il ne fera que 2 courses sur une Ferrari 512, la
motivation n'est plus là, les autres pilotes sont devenu professionnelles, pas
lui...
Lorsque Jo Bonnier se
tue aux 24 heures du Mans, Grégory, qui n'annoncera jamais son retrait des
courses, s'éloigne. Il se reconvertit dans les diamants et puis un jour de
1985, nous apprenons son décès d'une crise cardiaque.
INDY 1964 témoin de la tragédie
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