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L’avis de Max
Fidèle et droit
Pour sa gestion du devoir Olivier me fait penser à Patrick Depailler.
PALMARES
1988: Vice-champion Formule Renault
1989; Champion Formule Renault
1990: 4eme Championnat de France F3
1991: Vice-champion F3
1993: Champion F3000
2009 3eme LMP
2009 3eme GT France
2
victoires en F3000
122 GP (2002)
1er Monaco 1996
2eme Allemagne 94, Australie 95, Espagne 97
3eme Brésil 97
Chronologie des châssis
Formule Renault
1988: Martini, 2eme
1989: Martini, champion
Formule 3
1990: Dallara, 4eme
1991: Dallara et Ralt, 2eme
Tests
1989: Sarta, Alpa, Swift, Orion, F Renault
1992: F3000 sur Lola
1992: Ligier pour une publicité avec A Prost
1993: Ligier et Benetton F1
1994: 5 GT
1997: F3 sur Dallara
1997: Ligier F1
1999: Mc Laren F1
2000: Mc Laren et BAR F1
2000: Mc Laren F1 bi place
2005 Toyota F1
2006 Toyota F1
2007 Buggy électrique Glace
2007 Aston GT
F3000
1992: Lola
1993: Reynard, champion
Coupe
1993: Porschecup sur 911
2008: Porschecup sur 997
2009 Bioracing
Formule
1
1994: Ligier
1995: Ligier
1996: Ligier, 1er GP de Monaco
1997: Prost
1998: Prost
1999: Prost
2001: BAR
2002: BAR
2003: Toyota
2004: Toyota
Historic
2001: Citreon DS, MG et Alfa Roméo
2001: Porsche 356, Healey, Mini-Cooper
2004 Toyota F1
2005 Toyota F1
Formule
Ford Festival
2001 Vector
Glace
2006 Toyota
2007 Toyota
2008 Toyota
2009 Toyota
2010 Skoda
Endurance
2008 Oreca-Courage
2009 Oreca-Courage, 3eme
Biographie
Pour sa gestion du devoir, Olivier me fait penser à Patrick Depailler.
Le père de Panis était le mécano de Jimmy Mieusset, ensuite il a couru en courses de côtes sur Marcadier. Il a acheté une Ferrari F1 (une Cegga-Ferrari V12 de 1969) avec laquelle il roulait pour le plaisir et pour finir, il a construit une piste de kart, de quoi inciter une vocation.
Olivier est un pilote comme nous les aimons, il règle toujours ses problèmes volant en mains et ce n'est pas une péripétie qui le fait changer d'attitude. Pilote entier et discret, il n'est pas de ceux qui savent masquer ses sentiments.
« L'on nous reproche en Formule 1 de ne plus offrir de dépassements en courses, les pilotes comptent trop sur les ravitaillements pour doubler. Les organisateurs nous préviennent qu'un commissaire guette et inflige des punitions à la moindre manœuvre qui ne leur plaît pas, ils nous enlèvent simplement l'envie de nous battre »…
Ensuite, BAR (sous la direction de Craig Pollock) lui offre l'opportunité de piloter de nouveau en GP. Après de solides prestations face à son équipier Jacques Villeneuve, il n'a pas à rougir de la comparaison. Entre-temps, Craig Pollock se fait débarquer de BAR et David Richards prend les rênes.
Fin de la saison 2002, David Richards ne veut plus de Jacques Villeneuve (jugé trop cher). Il demande à Villeneuve de prendre une année sabbatique aux USA dans le championnat CART (payée par le sponsor BAT qui finance non seulement BAR, mais également l'écurie Players aux USA). Jacques a un contrat et entend le respecter, mais entre-temps, David Richards a engagé Jenson Button pour 2003. Du coup, BAR a un problème. Pour 2003, ils ont un pilote, Button, un second dont ils ne veulent plus, Villeneuve (qui souhaite rester), et Panis que BAR souhaite garder sauf si Villeneuve reste.
Olivier fait preuve d'une patience rare, sensible aux attentes du patron de BAR. Il accuse le coup lorsque Button est engagé. Panis se met donc sur le marché des transferts. David Richards revient à la charge et demande à Olivier Panis de ne pas s'engager avant que Villeneuve ne lui donne sa réponse définitive.
En 2003, il est pilote Toyota en F1, un nouveau défi. C'est au GP de France 2004 que l'idée de stopper la F1 le prend.
En 2006, il roule toujours en F1 pour Toyota, participe à des courses sur glace et manage le pilote Toyota Perera.
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