3 juil. 2023

Les personnages de la BD

Les personnages de la BD

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Le team Speed

Sport Prototypes Etudes Exploitations Développement

Ils sont 80 personnes au maximum par écurie, à s'agiter dans les paddocks.

Max & Carla

Pilotes officiels Speed

Max : natio: France - Carla natio Belge

Bonjour, je suis Max,

Je suis l'un des pilotes de course du team Speed.

Mon travail consiste évidemment à piloter pour l'écurie sur chaque compétition du team.

Je joue un rôle important dans le développement de la voiture en l'aidant à être plus rapide et efficace.

Durant l'année, je participe également à des essais et je me rends à Valréas pour me réunir avec l'équipe, vérifier les évolutions disponibles, aller au simulateur et améliorer ce dernier…

De plus, j'ai aussi un rôle clé du côté marketing en répondant à de nombreux entretiens médiatiques, en parrainant des événements ainsi que ceux de nos partenaires (sponsors), sans oublier d'accorder le plus de temps possible aux fans bien sûr !

Entre les courses, j'échange au téléphone avec mes ingénieurs pour préparer le prochain rendez-vous !

Une excellente manière de remercier Speed pour le soutien qu'ils m'ont offert tout au long de notre aventure commune.

Souvent mis sous la lumière des projecteurs, le pilote ne pourrait pourtant pas grand-chose sans l'équipe qui l'entoure. De même, la pratique du sport automobile est liée à la présence d'un encadrement généralement méconnu.


Scott

Le boss et le team manager.

Ses principales missions ?

Payer les factures (lol).

Les patrons d'écuries ont donc plusieurs casquettes : « chef d'entreprise à l'usine, avec un regard sur les achats, le recrutement, l'administratif, les ressources humaines...

Choix des pilotes, mécanos, ingénieurs...

Prise de décisions...

Gérer la logistique du staff (ses déplacements, par exemple) et veiller à ce que tout le monde travaille en bonne et due forme.

Le volet sportif, avec les opérations et la course.

Compétiteur, en se confrontant aux autres sur les circuits.

Il est notamment chargé de garder un œil sur la réglementation et le code sportif afin qu'ils soient impeccablement respectés.


Les ingénieurs

(Falstaff, Steeve, Betty, Tom, Motrul, Théo, Noa...)

Les ingénieurs occupent très certainement l'un des postes les plus prestigieux des circuits et leur tâche est aussi l'une des plus diversifiées.


Falstaff

Ingénieur "performance"
Responsable de tous les éléments liés au châssis et ses différents réglages


Motrul

ingénieur "moteur" et spécialiste des lubrifiants
Chargés de tous les paramètres liés aux performances et à la sécurité du groupe propulseur de la voiture.
Responsables de la préparation et des réglages des groupes propulseurs, il tient compte des remarques des pilotes sur l'agrément de conduite et des zones de déploiement de l'énergie électrique.
Et spécialiste des lubrifiants
Ils concentrent toute son attention sur des pièces soumises à des contraintes extrêmes et à une friction constante.


Betty

Ingénieur Équipe télémétrie

Betty analyse tout un tas de données transmises par la voiture en temps réelle au stand (performances motrices, efficacité aérodynamique, pression d'huile, adhérence des pneus, usure des freins...) jusqu'à 150 000 mesures par tour de circuit, soit 30 GO sur une course d'une heure trente minutes.

La révolution électrique est désormais en marche, un coup d'accélérateur a été donné en matière d'innovations. Bardés de capteurs et une bonne dose d'intelligence artificielle, les voitures actuels sont devenues de véritables concentrés de technologies.

La data aide l'ensemble des équipes techniques, à savoir ce qui se passe sur la piste, avec le pilote comme sur la voiture.


Steeve
ingénieur "contrôle" et Scientifique des matériaux

Il assure le fonctionnement de la boîte de vitesses, de la cartographie, du freinage assisté et des départs, mais surveille aussi les surrégimes moteurs.
Scientifique des matériaux
Le travail consiste à développer de nouveaux matériaux ou à trouver de nouvelles façons de tirer le meilleur parti de ceux qui existent déjà.


« La Goupille »

mécanicien en chef
Supervise l'équipe de mécaniciens sur les circuits.
Son rôle est de s'assurer que les spécifications de la voiture sont correctes.
Il doit aussi résoudre ses divers soucis mécaniques et s'assurer que les différents réglages de la monoplace soient bien faits.

Tom

Ingénieur "aérodynamique"

Il s'occupe de tous les aspects aérodynamiques de la voiture.

Sur les circuits, il transmet les données récoltées au département du même nom, à l'usine de conception.

Chaque ingénieur aérodynamique se voit attribuer une pièce spécifique de la voiture (de l'aile avant à l'entrée du radiateur ou au conduit de refroidissement des freins). Il faut alors déterminer comment améliorer sa forme, de manière parfois presque imperceptible à l'œil nu, afin que la pièce pénètre le mieux possible dans l'air.

Théo

ingénieur "stratégie

Doit évaluer les performances de l'équipe, mais aussi celle des adversaires.

Il les classe ensuite selon leur rythme.

Avant le départ, il étudie les différents scénarios possibles et anticipent les réactions à avoir.

Noa

Ingénieur pneus

Les pneus utilisés sont extrêmement sensibles à la chaleur.

Ainsi, avant tout roulage, ils doivent être préalablement chauffés, grâce à des couvertures électriques qui les maintiennent en moyenne à 30 °C.

Ils sont ensuite chauffés au maximum (80 °C) quelques secondes avant d'être montés sur la voiture.

Phill

directeur technique

Le directeur technique coordonne avant tout le travail des ingénieurs, et doit s'assurer que tous les éléments de la voiture fonctionnent en parfaite harmonie.

Du châssis au moteur en passant par les pneus.

Evan,

spécialiste des lubrifiants

Performances motrices, usures, pression d'huile...

Cette chimie, à peine sortie du laboratoire, trouve son banc de test dans les compétitions.

Les mécanos

Lucas, 

Mathis, 

Yann, 

Will, 

Guss...

Ceux sans qui un paddock ne serait rien.

Ces hommes de l'ombre doivent notamment veiller à ce que le pilote ait une voiture performante, fiable et sûre.

Lors des arrêts aux stands, ils procèdent aux vérifications d'usage, remplissent la voiture de carburant, battent le record du monde de vitesse de changement de pneus.

Cette liste ne concerne que les métiers des personnes présentes physiquement sur les circuits.
860 personnes ont ainsi œuvré au bon fonctionnement du team Speed, plus 200 au bureau d'études


Le circuit est un complexe (imaginaire) sportif situé à Valréas, dans le département du Vaucluse.

Le circuit de vitesse est un outil de travail et de plaisir unique en France.
Avec 4 sortes d'enrobés différents et de nombreuses configurations de piste possible.
Il comprend dix pistes réversibles, deux "de vitesse" ainsi que des pistes plus techniques garantissent de multiples trajectoires.

Le site abrite également un ensemble de bâtiments propres à recevoir des évènements sportifs, stages de pilotages, un musée, une boutique...
En plus de sa vocation sportive (roulages, baptêmes, écoles de pilotages), le circuit a également pour activité, un bureau d'études, des ateliers de conceptions, préparations...
(Plus une piste terre)

Le coût le plus important sur un circuit est forcément la piste.
Mais la construction d'un circuit ne se limite pas à poser de l'asphalte sur une distance donnée.
Ce même asphalte est spécifique. Il répond à plusieurs critères dont les conditions climatiques ou les normes locales.

Aussi, une piste doit être lisse et pour cela, il est utilisé des capteurs à ultrasons tandis que la qualité de la piste et la densité de l'asphalte sont vérifiées avec des jauges nucléaires. Outre l'asphalte, il est compté dans ce coût les barrières et clôtures de sécurité.

On compte environ 70 millions d'euros pour ce poste de dépenses, auquel il faut ajouter environ 43 millions pour les travaux de terrassements et d'infrastructures.
Aussi, autour de la piste, il y a différents boitiers électroniques.
Ces derniers sont dotés d'un logiciel de synchronisation complexe pour chronométrer, mais aussi positionner une voiture sur un secteur. Ce boitier, réparti sur tout le circuit, sert aussi à sécuriser l'ensemble du complexe.

À la charge du circuit, il représente un coût de 27 millions d'euros.
Après avoir construit une piste, il faut y apposer des bâtiments et l'un d'entre eux est le plus important, à savoir le bâtiment des stands où se trouvent les garages et le Paddock.
Estimé aux alentours de 45 millions d'euros, ce bâtiment doit pouvoir contenir toutes les équipes engagées dans le championnat, mais aussi les « VIP »

Dans ce même bâtiment se trouve en général le Média Center, centre où se regroupe tous les médias venus couvrir l'événement. Sa construction représente tout de même un coût moyen de 12 millions d'euros.
Le bâtiment d'en face, cette fameuse tribune où les spectateurs assistent au départ des courses, à l'arrivée, mais aussi aux arrêts aux stands, est un point important du circuit puisqu'il est l'endroit où en général, le prix des places est le plus cher.
Pouvant accueillir en moyenne 10 000 personnes, on peut y trouver en bas de celle-ci des bureaux, des salons ou même des magasins. Son coût de construction avoisine les 25 millions.

Enfin, il reste le centre médical doté d'installations à la pointe de la technologie. Considéré comme un « minihôpital », c'est en ce lieu que sont donnés les premiers soins en général ou faites les vérifications médicales. Il coûte au circuit 4 millions d'euros.

Construire un circuit coûte donc très cher. Si on fait la somme des montants indiqués ci-dessus, on obtient le chiffre de 226 millions d'euros. C'est un montant minimal, auquel il faudra ajouter d'autres frais annexes comme la construction d'autres tribunes

Ps : Invité un plateau F1 est estimé à un minimum de 20 millions d'euros pour les circuits européens. Ce chiffre peut très vite grimper et atteindre le demi-milliard. Reste à savoir en fonction du pays si les retombées d'un tel événement valent les coûts engagés.

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