27 mars 2025

MOSER Silvio

Silvio MOSER*

  Suisse
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1964 Remporte la Temporada Argentine (F3)

1964: 4 victoires en F2 sur Brabham usine

Chronologie des châssis
Circuits
1960 Volvo, Jaguar XK 120
1962 Volvo, Jaguar 
1963 Volvo, Alfa
1964 Alfa
1967 Alfa

Courses de cotes

1961 Volvo
1962 Lotus ( F Junior)
1964 Reyno
1967 Alfa
1969 Brabham
1970 Bellasi F1
1971 Bellasi F1
1972 Lola
1974 Lola

Formule junior

1962 Lotus
1963 Lotus, Brabham
1964 Brabham

Endurance

1963 Alfa Roméo
1964 Alfa Roméo, Lola, Abarth
1965 Iso-Grifo (Bizzarini)
1967 Alfa Roméo, Porsche 911
1968 Porsche 907
1969 Porsche 907, Lancia
1971 Lola
1972 Lola
1973 Lola
1974 Lola

Formule 2

1964 Brabham, de Sanctis
1965
1966
1967 Brabham, Cooper
1968 Brabham, Tecno
1969 Brabham, Tecno
1971 Brabham
1972 Brabham
1973 Surtees

Formule 3

1964 Brabham
1965 Brabham, DeTomaso
1966
1967 Brabham, Tecno

Formule 1

1967 Cooper-ATS
1968 Brabham, Bellasi, Cooper
1969 Brabham

1970 Bellasi
1971 Bellasi, Brabham

 Silvio Moser Racing Team
Endurance
  Châssis Alfa Roméo
1964 Moser

  Châssis Lola
1964 Moser, Schoen

  Formule 1

  Châssis Cooper
1967 Moser
1968 Moser

  

Châssis Brabham

1969 Moser


A retenir

Silvio Moser (24 avril 1941 – 26 mai 1974) était un pilote automobile suisse .

À 14 ans, Silvio émigre à Logano, son père est alors antiquaire

Silvio Moser est l'ami de Clay Reggazoni, ce dernier le pousse à courir. Comme il ne peut financer ses engagements en courses, Ch Vogèle devient son mécène et son manager.

Silvio Moser commence en compétition au début des années 1960 au volant d’une Jaguar XK 120, puis brille dans les courses sur neige et en côte en Suisse.

Très vite, repéré par Alfa Romeo, il se forme en participant à des épreuves de côte et s’expatrie progressivement pour courir sur circuit.

En 1963, il remporte la Temporada Argentina en Formule Junior, puis enchaîne les succès en Formule Junior

et Formule 3 dès 1964.

Il crée sa propre équipe, le Silvio Moser Racing Team, et s’illustre en remportant aussi bien des épreuves de Formule 3 
que de Formule 2, notamment à Syracuse. En 1967, il remporte, aux côtés de Clay Regazzoni, la Coupe des nations de Formule 3 sur une Tecno TF6

Il préfère rester amateur même pour la dernière place plutôt que d'être grassement payer et terminer second par les consignes d'une écurie.

Silvio participe (lui aussi) au tournage du film "le Mans".

Silvio Moser débute en Formule 1 lors du Grand Prix de Grande-Bretagne 1967 avec une Cooper-ATS du Team Vögele. Il avait déjà tenté de se qualifier en 1966 au GP d’Allemagne avec une Brabham-Cosworth de Formule 2, mais avait été contraint à l’abandon sur panne moteur. Il poursuit son aventure F1 de façon indépendante :

Il engage des Brabham privées, puis en 1970 tente l’aventure constructeur avec la rare Bellasi-Cosworth.

Il dispute au total 19 Grands Prix du Championnat du monde (12 départs), inscrivant 3 points entre 1967 et 1971.

Son meilleur résultat est une 5e place au Grand Prix des Pays-Bas 1968 et une 6e place au Grand Prix des États-Unis 1969.

Après l’échec du projet Bellasi, Moser retourne en Formule 2, où il enregistre quelques succès dont une seconde place au GP de la Lotterie à Monza en 1973. Il poursuit parallèlement une carrière en voitures de sport.

Silvio Moser décède tragiquement en mai 1974, des suites d’un grave accident lors des 1 000 km de Monza alors qu'il pilotait une Lola T294-BMW. Il succombe à ses blessures un mois plus tard sans avoir repris connaissance.

Un boulon mal serré cède et sa suspension avant se détache.

Il se crashe le jour de ses 33 ans, c'est Gérard Larrousse qui pilotera sa Brabham en Grand-prix.

HAZARD J Hugues

Jean Hugues HAZARD et madame*

Jan-Hug Hazard

France


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Chronologie des châssis
ex moto

Endurance

1960 DB
1972 Bmw
1974 Ford Escort

Rallyes

1961 Facel Vega
1962 Facel Vega
1962 Navigue Greder sur Alpine et Anglia
1963 Mini, Ford Falcon, Facel Vega
1964 Lancia
1967 Bmw 1600
1971 Bmw 1600, Simca
1972 Bmw 1600, 3,0 csi
1973 Alpine, Fiat, Bmw 3,0
1974 NSU, Alpine A110, Ford capri


1975 Bmw 3,0
1976 Bmw3,0, Ford capri, Opel kadett
1977 Bmw 3,0 csi, Opel,  A112
1978 Porsche 911, Opel Kadett
1979 Porsche 911, Fiat 127, Opel Kadett
1980 Bmw 320
1981 Bmw 320, Opel ascona, R5 turbo
1982 Mitsubishi, Fiat
1983 Fiat Ritmo
1984 Fiat Ritmo
1986 Bmw M3, 325
1987 Bmw M3
1988 Bmw M3
1989 Bmw M3
1990 Bmw M3
1993 Renault

Courses de cotes

1961
 Facel Vega


1969
Bmw, Gegga-Ferrari Gr6, BRM, Porsche Carrera, Cegga-Ferrari V12
1970
Mc Laren F2, Porsche 911, Pygmee F2, Porsche 910, Bmw 2002
Cegga-Ferrari mono
1971
Bmw 1600, Porsche 911, 910, R8 Gordini, Pygmee F2
1972
Bmw 3,0 csi, NSU, Bmw 2002
1974
Bmw 3,0 csi
1975
Bmw 3,0 csi
1981
Bmw 3,0 csi
1982
Bmw 323 et Porsche 911
1986
Bmw 325, 323

Circuits

1969 Ferrari, Porsche 911
1972 NSU, Fiat 128
1973 Fiat 128
1974 Fiat 128
1981 Bmw 323
Coupe
1974 NSU
Rallycross


1978 Fiat 127

Glace
1994 Peugeot
1995 Metro
1996 Porsche

Rallyes TT

1994 Range


Historic

2008 Bmw M3

 
 Concessionnaire a Nancy

Jean-Hugues Hazard, souvent orthographié Jan-Hug Hazard, est une figure emblématique du sport automobile français, particulièrement reconnue pour sa carrière en rallye durant les années 1970 à 1990. 


Né le 22 juillet 1953 à Nancy, il s'inscrit dans la lignée d'une famille de pilotes, son père Hugues Hazard étant lui-même un grand nom des compétitions régionales et nationales après-guerre.


Jean-Hugues Hazard Débute sa Carrière de Pilote à 19 ans en circuit de Trophée Antar. Très vite, il s'impose dans les compétitions locales puis nationales, notamment en rallye, où la « griffe Hazard » devient synonyme d'engagement et de performance.


Véritable « enfant du pays », il se distingue au Rallye de Lorraine, épreuve phare des années 1970-1990. Surnommé « la bête noire » de l'épreuve pour la difficulté d'y gagner, il parvient cependant à s'adjuger la victoire en 1990, un exploit partagé avec son père qui l'avait emporté une génération plus tôt..


Vice-champion d'Europe, puis champion de France de rallye, il s'illustre au volant de voitures mythiques telles que la BMW M3

Il a AUSSI GOUTÉ À DES AUTRES VOITURES COMME LA BMW 3.0 CSL, La Fiat Ritmo dans la coupé monotype, ou Encore la Talbot Lotus.


sa carrière est marquée par un accident grave à 20 ans lors du rallye de Remiremont. Plongé dans le coma, il en sort profondément marqué, mais aussi renforcé, PUIS Mettra un an à rétrover le volant.


Après sa carrière de pilote, il devient directeur de course et patron d'équipe, assumant la lourde responsabilité logistique et humaine des épreuves, tout en étant confronté de près à la réalité tragique des accidents en compétition.


En 2000, aux côtés de son épouse, il crée l'association l' École des Champions , un projet éducatif visant à initier les enfants aux valeurs de citoyenneté, d'effort et de solidarité. Plus de 50 000 jeunes ont participé à ces animations