27 nov. 2025

BIANCHI Mauro

 Mauro BIANCHI*

  Italien, naturalisé Belge puis Français
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1964: 2eme Monaco F3
1966 victoire à Macau


  Chronologie des châssis
Mécano de l'écurie Nationnale Belge
Formule 1
  1961: Emerysson
Endurance

  1962: Fiat et Abarth
  1963: Alpine A220 et Abarth
  1964: Alpine A220 et Abarth
  1965: Alpine A220 et Ferrari
   1966: Alpine A220
  1967: Alpine A220
  1968: Alpine A220
  1969: Alpine A220

Rallyes

  1963: Abarth
  1964: Alpine
  1965: Alpine
  1966: Alpine
Courses de cotes

1963: Abarth

Formule 3

  1964: Alpine, 2eme Monaco
1965: Alpine
1966: Alpine
1967: Alpine

Formule 2

1964 Alpine
1965 Alpine
Formule libre
1966 Alpine, 1er Macau
Tourisme


1989 Ferrari mondial

Glace

Citroen Visa

Historic

  1997: Alpine A220
  1998: Alpine A220
  1999: Elva
  2002: Alpine A220 et Lotus
2004: Alpine A220

 Italien, naturalisé Belge puis Français

   Story
Le 30 mars 1969 lors des essais préliminaires des 24 heures du Mans Lucien
le frère de Mauro se tue au bout de la ligne droite des Hunaudières, terrible
pour Mauro qui se jour là décide de raccrocher son casque définitivement.

Mauro Bianchi est né le 31 juillet 1937 à Milan, en Italie.

Quand il était enfant, sa famille a quitté l’Italie pour la Belgique
son père avait travaillé comme mécanicien de course pour le pilote belge Johnny Claes.

Bien que d’origine italienne, Mauro a couru sous licence belge.

Il est le frère cadet de Lucien Bianchi, un autre pilote notoire, et le grand-père de Jules Bianchi.

Mauro Bianchi a eu une carrière variée, mêlant monoplace, endurance, rallye / courses de côte — un pilote “touche-à-tout”

Il débute en compétition en Formule 2 en 1960, au volant d’une Cooper-Climax, pour le compte de l’Écurie Nationale Belge.

En 1961, il participe à une course “hors-championnat” en monoplace, un Grand Prix non comptant pour le championnat du monde — le Grand Prix de Modène — sur une Emeryson-Maserati

En 1962 et 1963, il devient pilote officiel pour la marque italienne Abarth courses de côte, rallyes, courses d’endurance, compétitions GT, etc.

À partir de 1964, il rejoint l’équipe Alpine‑Renault, ce qui marque un tournant dans sa carrière : il court en Formule 3, Formule 2, mais aussi en endurance.

(Alpine A350 F1)
Responsable des essais chez Alpine durant 12 ans, les frères Bianchi poussent Alpine
à construire une Formule 1.
Oui Alpine à construit une Formule 1 en 1968, elle roula 2 ans à Zolder et Zandvorth
elle aurait du disputer le GP de France, en fait elle fut détruite.

Chez Alpine la vie devait être passionnante, avec les vitesses atteintes les protos devaient avoir une aérodynamisme fine, à des vitesses inconnues qui ont la fâcheuse maladie de décoller les bolides, à Montlhéry je ne comprends pas ce qui se passe je voie les nuages j'ais tout lâché et enlevé doucement le pied de l'accélérateur pour que la voiture retombe sur ses roues…

En 1965, avec son frère Lucien, Mauro remporte les 500 km du Nürburgring

En 1966, il gagne le Grand Prix de Macao (Macau Grand Prix)

En 1967, lors des 24 Heures du Mans, il remporte la catégorie P1.6 (dans une Alpine A210)

Il participe à six éditions du 24 h du Mans : 1962, 1964, 1965, 1966, 1967, 1968.

Après l’arrêt de sa carrière de pilote, Mauro Bianchi s’est reconverti comme ingénieur / pilote-essayeur : il a travaillé notamment pour les marques Venturi et Alpine

Il est surtout reconnu pour avoir inventé la suspension “contractive” (contractive suspension) — un système breveté qui modifie la géométrie/suspension pour améliorer la tenue de route, la stabilité, en virage comme sur circuit.

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