EKLUND Per

Per EKLUND*

Per Torsten Eklund, surnommé « Pekka »

  Suède
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rallyes 1989 Champion suédois rallycross 1998 Vice-champion suédois 1998 3eme Europe 1999 Champion d'Europe 2000 3eme Europe 2001 3eme Europe 2002 Vice-champion d'Europe 2003 Vice-champion d'Europe 2004 Champion Suède 2000 2eme Pike Peak  1 victoire mondiale en rallyes

Chronologie des châssis
Tourisme

  1972 Saab

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Rallyes

1973 Vw cox et Saab
1975  Saab
1976  Saab
1977  Saab, Triumph TR7
  1978 Porsche 911, Triumph TR7
  1979 Triumph TR7, Fiat Ritmo, Vw, Datsun
  1980 Triumph TR7, Vw Golf
  1981 Porsche 911, Toyota
  1982 Saab, Toyota
  1983 Audi et Toyota
  1984 Audi et Toyota
  1985 Audi
  1986 Austin Métro GrB
 1987 Audi, Subaru, Peugeot, Nissan, Mazda
  1988 Lancia et Nissan
  1989 Lancia et Nissan, champion
1990 Lancia et Nissan
  1991 Lancia et Subaru
  1992 Subaru
  1993 Subaru
  1994 Lancia
  1997 Saab
  1999 Saab
  2000 Saab, 3eme Europe
  2001 Mitsubishi
2008 Ouvreur

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Rallycross

1972 Saab
1973 Saab
1974 Saab
1975 Saab
1976 Saab
1977 Saab
  1990 Austin Métro GrB
1993 Subaru
1994 Subaru
1995 Subaru
1996 Subaru
1997 Saab
1998 Saab, 2eme Suède, 3eme Europe
1999 Saab, champion d'Europe
2001 Saab, 3eme Europe
2002 Saab, 2eme
2003 Saab, 2eme
2004 Saab, Champion
2005 Saab
2006 Saab
2007 Saab
2008 Saab
2009 Saab

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Courses de cotes

  1987 Austin Métro GrB
  2000 Pike Peak sur Saab 2eme
  2001 Pike Peak sur Saab
  2002 Pike Peak sur Saab

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 Glace

  2000 Saab
  2001 Saab

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Ce qu'il faut savoir de "Pekka"

Per Eklund, né le 21 juin 1946 à Eda, Suède, est l’un des plus grands pilotes nordiques en rallye et rallycross, reconnu pour une carrière de plus de 50 ans couvrant WRC, ERC et courses de côte internationales.

Il commence très jeune dans le rallye : sa première course date de 1964, peu après avoir fêté ses 18 ans. Il pilotait initialement la Volvo PV de son père, qui était moniteur de conduite.

Il s’impose rapidement comme fer de lance de Saab, son constructeur fétiche.

Il totalise plus de 80 départs en Championnat du Monde des rallyes (WRC) entre 1973 et 1997, avec sa victoire emblématique au Rallye de Suède 1976 sur Saab 96 V4, devenant l’un des rares pilotes à imposer Saab sur la scène mondiale.

1 victoire (Suède 1976)

13 podiums

73 victoires de spéciales

Meilleur classement général WRC : 5e en 1982.

Eklund brille aussi sur d’autres constructeurs :

Toyota (2e au Rallye Côte d’Ivoire 1981),

Nissan (3e au Safari Rally 1988),

Subaru, Audi, Peugeot

et MG Metro 6R4 à l’ère du Groupe B.
Après sa période rallye, Eklund se tourne vers le rallycross. Il remporte le championnat d’Europe 1999 en Saab 9-3 T16 4x4, termine vice-champion d’Europe trois fois (1998, 2002, 2003) et troisième deux fois (2000, 2001). Il est également champion de Suède 2004.
Eklund s’illustre hors des sentiers battus en remportant deux fois la célèbre course de côte Pikes Peak aux États-Unis :

Vainqueur en 2000 avec Saab 9-3 Viggen 4x4, battant le record de catégorie Open

Vainqueur Unlimited Class en 2002 avec Saab 9-3, devançant Stig Blomqvist.

Eklund Motorsport, l’équipe fondée par le pilote, gère la préparation et la compétition de véhicules en rallye, rallycross et hillclimb, et reste active dans les championnats européens et mondiaux, parfois sous la direction directe d’Eklund. Sa devise, "En får ente ge sej" ("Il ne faut jamais abandonner"), reflète la ténacité qui a marqué sa carrière.

La petite histoire
RAC 1987 il est 2eme, il remporte une victoire personnelle "je me bats avec Stig
Blomqvist depuis 1964 et c'est la 1er fois que je prends l'avantage"
Hélas son résultat fut annulé son Audi est jugé non conforme par un commissaire
technique suédois.

EDWARDS Guy

Guy EDWARDS*

Guy Richard Goronwy Edwards

 Royaume Unis
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 1973: 3e Europe, voitures de sport 2 litres

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 Chronologie des châssis
Endurance

1962 Ferrari
1966 Marcos
1967 Marcos
1969 Chevron
1970 Astra
1971 Chevron, Lola
1972 Lola
1973 Lola
1974 Lola
1975 De Cadenet, Cheetah
1976 March
1977 Porsche 935, Lola
1978 Ibec
1979 Bmw M1
1980 Porsche 935, Lola
1981 Lola
1982 Lola
1983 Porsche 956
1984 Porsche 956
1985 Porsche 956
1986 Porsche 956

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Europe 2 litres

1970 Astra
1971 Lola, Chevron
1972 Lola
1973 Lola, 3eme
1975 Lola, Cheetah

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Intersérie

1972  Lola

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Tasmane
1973

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F5000

1973 Lola
1974 Lola
1975

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Formule 2
1976 MarchChevron

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Formule 1

1974 Hesketh, Lola-Hill
1975 Hesketh
1976 Hesketh
1977 BRM
1991 à 94 Markéting Lotus

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F1 Hors championnat

1976 Brabham

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Aurora

1979 Copersucar, March
1980 Arrows
1981 Fittipaldi

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Tourisme

1988 Ford sierra

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Historic
1990 Hwm F1

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Coupe
1993 Jaguar

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GT
1995 GT-BPR, Porsche

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Guy Richard Goronwy Edwards
Date de naissance : 30 décembre 1942
Lieu de naissance : Macclesfield, Cheshire, Angleterre

Après ses études (Liverpool College puis l’Université de Durham), Guy Edwards s’oriente vers le sport automobile. Il commence par des courses plus modestes, notamment avec une Mini Cooper‑S, puis monte progressivement dans des formules plus exigeantes
comme la Formule 3,
la Formule 5000.


Il participe aussi à des courses de sport‑prototypes, d’endurance, GTs, etc.

C'est Edwards qui présente Patrick Head a F Williams

Créer un team F2 du nom de ICI dirigé par R Dennis

Entre 1974 et 1977, il participe à 17 Grands Prix F1 inscrits au championnat du monde, mais on ne lui compte que 11 départs effectifs.
Embassy Racing (avec Graham Hill), Hesketh, BRM.

Il a couru plusieurs fois aux 24 Heures du Mans.

Aussi engagé dans le Championnat britannique des voitures de tourisme (BTCC) et d’autres championnats de sport‑auto.

Lors du Grand Prix d’Allemagne 1976 au Nürburgring, après l’accident de Niki Lauda dont la voiture avait pris feu, Guy Edwards fut un des pilotes qui sont intervenus pour extraire Lauda du véhicule en flammes.

Pour cet acte, il fut distingué par la Queen’s Gallantry Medal (Médaille de Gallantry de la Reine) pour son courage.

Il s’est aussi spécialisé dans le rôle de facilitateur / intermédiaire de sponsoring dans le sport automobile, aidant d’autres pilotes à trouver des financements et opportunités.

Il est le père de Sean Edwards, lui aussi pilote automobile, décédé en 2013 dans un accident pendant une séance d’entraînement.

DUBOS Roger

Roger Jean Charles Dubos*

Belge

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1969: Champion Formule Bleue

1969: 17 victoires en F Bleue
3 victoires en Formule Renault

Chronologie des châssis
Formule Bleue

1967 MEP
1968 MEP
1969 MEP, champion

Formule France

1968 GS Armagnac
1969 Tecno
1970 Grac
1970 Essai une Arpa

Formule Renault

(N°11)
1971 Tecno
1972 Tecno, Alpine

Courses de cotes
MEP à mécanique NSU
1967 MEP
1968 MEP
1969 Ford Cortina, MEP-NSU
1970 Grac
1971 Charact et Matra Djet
1973 Chevron

Coupes
1969 R8 Gordini

Rallyes

Dauphine
1969 Autobianchi A112
1970 Autobianchi A112
1971 Autobianchi A112

Circuits
1969 F2
1972 Alfa Roméo
1973 Alfa Roméo

Formule 3
1970

Glace
1972 Alpine A110

Endurance

1973 Chevron

Tourisme

1973 Alfa Roméo

Roger Jean Charles Dubos
Date de naissance : 16 octobre 1946
Lieu de naissance : Tarbes (Hautes‑Pyrénées), France
Date de décès : 21 juillet 1973

Il était fiancé avec la pilote belge Christine Beckers, avec laquelle il participait à des courses.

Dubos commence sa carrière comme mécano puis sur les circuits français, remportant notamment en 1969 le championnat de France de Formule MEP, compétition monotype formatrice à l’époque.


Il fonde avec Christine Beckers une école de pilotage au circuit d’Albi, il conclut un accord avec Total et Citroen pour donner des cours

1972: l'écurie Sofar engage 3 Alfa Roméo 2000 groupe 1, a cette occasion "Christine"
est contacté pour faire équipe avec Roger Dubos, il est également connu pour ses
performances sur les Autobianchi A112.

En 1973 le couple "Christine" Dubos est fiancé et partage un projet, disputer les 24 heures
du Mans. Ils trouvent un annonceur Dinitrol qui fournit le budget pour acheter une Chevron
qu'il engage pour rodage aux 1000 km de Spa, 2e de catégorie.

Avec Beckers, il dispute la saison sur une Chevron B21-Ford 1800 cm³, signant des résultats marquants :

1000 km de Spa-Francorchamps : 2e de classe, 9e au général.

4 Heures du Mans (avril, essais préliminaires) : 2e de classe, 7e au général, ce qui leur ouvre les portes de la classique mancelle.

Lors des 24 Heures du Mans 1973 eux-mêmes, la Chevron B19 du duo est contrainte à l’abandon en début d’épreuve sur casse injection alors que Dubos venait tout juste de prendre le premier relais.

Aux 24 heures de Spa "Christine" cours avec Liane Engeman sur une Opel Commodore GSE l'écurie Sofar lui propose une Alfa Gtv, mais déjà engagé elle propose le volant à son fiancé.

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L’accident de Roger Dubos au 24 Heures de Spa-Francorchamps s’est produit le 21 juillet 1973, vers 23 heures, lors de la septième heure de course, dans la grande courbe de Burnenville avant le virage de Malmédy sur l’ancien tracé rapide du circuit belge.

Dubos partageait ce relais avec le Belge Jacques Berger sur une Alfa Romeo GTV, alors en lutte pour la tête de la catégorie contre les Opel Commodore et entouré, dans la manœuvre, par une autre Alfa Romeo pilotée par Claude Ballot-Léna.

La tragédie survient quand la BMW Alpina du leader, Hans-Peter Joisten, tente de prendre un tour aux deux Alfa Romeo alignées. Après être passé devant Dubos, Joisten élargit sa trajectoire sur les “marbles” (débris de gomme), perd l’adhérence, glisse et percute durement la glissière au virage de Malmédy. Sa voiture rebondit et s’arrête en travers de la piste, feux vers l’intérieur. Roger Dubos n’a alors aucune chance d’éviter la BMW, et percute violemment la porte conducteur de Joisten à grande vitesse. Les deux pilotes sont tués sur le coup selon le rapport officiel.

Le choc est tel que Ballot-Léna, juste derrière, parvient de justesse à esquiver la collision directe mais heurte également la BMW, avant de s’arrêter une centaine de mètres plus loin. Plusieurs autres concurrents (dont la deuxième Alfa Romeo d'équipe Pooky et la Commodore d’Huub Vermeulen) sont impliqués ou victimes de dégâts dans la confusion, mais s’en sortent pour la plupart indemnes.

L’accident, survenu dans des conditions nocturnes particulières et à une vitesse élevée, constitue l’un des drames marquants de cette édition 1973, qui verra trois pilotes perdre la vie.

Suite à cet événement, la double tragédie précipite la décision de retirer toutes les Alfa Romeo officielles, et l’accident contribuera à la décision de modifier et raccourcir le circuit de Spa-Francorchamps pour la sécurité fut

Christine Beckers, fiancée de Dubos, abandonne également.

Le mariage entre Dubos et Christine était prévue un moi après le drame !

de VILLOTA Maria

Maria de VILLOTA*

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Coupe 1999 Formule France Formule 3 2002 Dallara Endurance 2005 Ferrari 360 Wtcc 2006 Chevrolet GT Espagne 2007 Ferrari 430 Euro-F3000 2008 Monoplaces 2009

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Emilio de Villota Racing
Euro 3000
2009 Bratt
María de Villota

Née le 13 janvier 1980 à Madrid et décédée le 11 octobre 2013 à Séville

María de Villota Comba est issue d’une dynastie de pilotes (fille d’Emilio de Villota).

Elle commence tardivement en karting (vers 16 ans) malgré son milieu familial.

puis en Formule Toyota,

puis en championnat d’Espagne de F3,

Superleague Formula, Euroseries 3000,

WTCC et endurance (24 Heures de Daytona, ADAC Procar, Ferrari Challenge).

Son parcours l’amène à devenir en 2012 pilote d’essai au sein de l’écurie Marussia F1 Team – un jalon pour les femmes en F1.

Elle effectue également un test pour Lotus Renault GP en 2011.

Le 3 juillet 2012, lors de premiers essais avec Marussia à Duxford, María est victime d’un grave accident contre un camion technique. Elle perd un œil et des fonctions sensorielles, mais survit après de lourdes opérations. Malgré sa volonté de témoigner sur la sécurité et la place des femmes dans le sport, elle décède subitement en 2013, conséquence d’un malaise épileptique lié aux séquelles de son accident.

Elle est retrouvée morte le 11 octobre 2013 dans un hôtel à Séville.

de VILLOTA Emilio

 Emilio de VILLOTA RUIZ*

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Espagne 1974: Champion coupe Seat 1978: 3eme Aurora 1979: 3eme Aurora  1980: Champion Aurora Chronologie des châssis Rallyes Equipier Coupe 1971 Renault 8 1973 Seat 1974 Seat, Champion 2007 Porschecup Monoplaces 1972 Formule 1430 1975 Formule Libre sur Lyncar Tourisme 1975 1986 Vw 1987 Vw 1991 Mercedes 1992 Bmw Formule 1 1975 Brabham 1976 Brabham 1977 MC Laren 1978 MC Laren et March 1980 Williams 1981 March 1982 March F1 Hors championnat 1976 Lyncar 1977 Lyncar Aurora 1977 MC Laren 1978 Lotus, 3eme 1979 Lotus, March et Williams, 3eme 1980 Lotus et Williams, Champion 1981 Lotus Endurance 1981 Lola 1982 Grid 1983 Porsche 956, Grid 1984 Porsche 956, Grid 1985 Porsche 956 1986 Porsche 956 1987 Porsche 962 1988 Porsche 962 Gt Fia 1996 Porsche 911 Historic 2001 F1 2006 F3000

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Emilio de Villota Ruíz
Date de naissance : 26 juillet 1946
Lieu : Madrid, Espagne

Emilio commence dans les courses nationales en Espagne, avec des voitures comme la SEAT 124 SC, Lotus Seven,

Il participe à des compétitions de tourisme nationales, et dans les championnats de promotion : Formule SEAT 1430, TS (Touring Series), etc.
Il est vice-champion national de tourisme en 1975, avec une Ford Capri RS 2600.

En 1972, il fait ses débuts sur la scène internationale dans le Championnat Européen de voitures de tourisme (ETCC), en pilotant une SEAT 124 SC, pour les 4 Horas de Jarama, avec la Scuderia Filipinetti.

En 1975, toujours en ETCC avec la Ford Capri RS 2600, joint à Jorge de Bagration, puis avec un troisième pilote pour certaines courses.

Emilio s’oriente vers les monoplaces vers 1976 pour tenter la Formule 1. Il s'engage dans la Shellsport G8 International Series, série britannique mixant divers types de monoplaces dont des voitures de F1 privées.

Il est inscrit à 15 Grands Prix de Formule 1 (championnat du monde) entre 1976 et 1982, mais ne s’est qualifié que pour 2 de ces GP.

Son premier GP inscrit : Espagne 1976, avec une Brabham BT44B, mais il ne se qualifie pas.

Ses deux seules courses de GP auxquelles il a participé sont : Grand Prix d’Espagne 1977 (Jarama) — et GP d’Autriche (Österreichring) 1977

Sa plus grande réussite en monoplaces eut lieu dans le championnat britannique Aurora AFX (Aurora AFX F1), qui utilisait des F1 privées : il en est devenu champion en 1980.

Après la période des F1, Emilio continue dans d’autres disciplines : courses de sport-prototypes, Championnat du Monde d’Endurance, etc. Il pilote des Porsche 956, des Lola, etc.

En 1986, il court pour John Fitzpatrick Racing avec Fermín Vélez, avec le soutien de Danone. Parmi ses résultats : 3ᵉ au Nürburgring dans les 1000 km ADAC, et 4ᵉ aux 24 Heures du Mans.

Même après avoir "arrêté" les grands championnats internationaux, il gagne plusieurs titres au niveau national : notamment trois championnats de la Porsche Carrera Cup Espagne dans les années 1990 (1993, 1995, 1996).

En 1980, Emilio de Villota fonde l’École de Pilotes Emilio de Villota (Escuela de Pilotos) au Circuit de Jarama.

En 1997, il crée la structure de Villota Motorsport, une écurie/organisation qui a formé ou donné des opportunités à plusieurs pilotes espagnols reconnus : Antonio Albacete, Alfonso García de Vinuesa, Carlos Sáinz senior et junior, Pedro de la Rosa, Marc Gené, Fernando Alonso, etc.

Il a aussi été directeur de la version espagnole du magazine Car and Driver, depuis sa création jusqu’à sa cession/fermeture dans la partie éditoriale Hachette Filipacchi.

Autres fonctions : gestion de parrainage, commercial, etc. Il a aussi été impliqué dans d’autres projets (y compris liés à la voile, mention de “España 92” pour la Coupe de l’America)

Il est père de María de Villota (née 1980 − décédée 2013). María avait fait carrière comme pilote, était test pilote F1, et a eu un grave accident en 2012 lors d’un test, puis est décédée en 2013.

Il a aussi un fils, Emilio de Villota Jr., qui a couru dans plusieurs catégories.

Après la mort de María, de Villota a réduit (voire quitté) ses activités liées à la compétition pour se consacrer davantage à des activités de souvenir, caritatif, sous le nom Legado María de Villota (l’héritage de María de Villota).