29 janv. 2023

PALMARES WRC

 PALMARES WRC


TITRES PILOTES

Sébastien LOEB                      9

Sébastien OGIER                    8

Tomi MAKINEN                    4

Juha KANKKUNEN              4


VICTOIRES PILOTES

Sébastien LOEB                   80

Sébastien OGIER                 55

GRONHOLM                      30

Carlos SAINZ                      26

Colin MC RAE                    25


TITRES CONSTRUCTEURS

LANCIA                              10 

CITROEN                             8

TOYOTA                              6

PEUGEOT                            5

VOLKSWAGEN                  4


VICTOIRES CONSTRUCTEURS

CITREON                         102

FORD                                 92

TOYOTA                           77

LANCIA                            73

PEUGEOT                        48

VOLKSWAGEN              44





PALMARES F1

 PALMARES F1

VICTOIRES PILOTES

Lewis HAMILTON                           103

Michael SCHUMACHER                   91

Sebastian VETTEL                             53

Alain PROST                                      51

Ayrton SENNA                                   41

Max VERSTAPEN                             35


TITRES PILOTES

Lewis HAMILTON                               7

Michael SCHUMACHER                     7

Jan Manuel FANGIO                            5

Sébastain VETTEL                               4

Alain PROST                                        4


TITRES TEAMS                                                                VICTOIRES

FERRARI                                           16                            242

WILLIAMS                                          9                            114

MC LAREN                                         8                            183

LOTUS 7                                               X                            84

MERCEDES                                                                       125

RED BULL                                                                           92



PALMARES 24 HEURES

 

VICTOIRES AUX 24 HEURES DU MANS

Porsche 19

1970, 71, 76, 77, 79, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 94, 96, 97, 98, 2015, 16, 17 

AUDI 13

2000, 01, 02, 04, 05, 06, 07, 08, 10, 11, 12, 13, 14

FERRARI 9

1949, 54, 58, 60, 61, 62, 63, 64, 65

JAGUAR 7

1951, 53, 55, 56, 57, 88, 90

BENTLEY 6

1924, 27, 28, 29, 30, 03

TOYOTA 5

2018, 19, 20, 21, 22


Tom KRISTENSEN 9

1997, 2000, 01, 02, 03, 04, 05, 08, 13

Jacky ICKX 6

1969, 75, 76, 77, 81, 82

1 manager de Mazda

Derek BELL 5

1975, 81, 82, 86, 87

Frank BIELA 5

2000, 01, 02, 06, 07

Emanuel PIRRO 5

2000, 01, 02, 06, 07

SAFETY CAR - PACE CAR

 

Voiture de sécurité

(ou « safety car » en anglais, « pace car » aux USA) est un véhicule qui sert à neutraliser le déroulement d'une course automobile.
En cas de danger sur le circuit ou de conditions météorologiques trop dangereuses, elle entre en piste et se place devant le leader pour ralentir le peloton.
Cela permet aux commissaires d'intervenir en toute sécurité pour nettoyer la piste, évacuer une voiture accidentée ou encore aux médecins de porter secours à un pilote blessé.

Historique

La première intervention de la voiture de sécurité en Formule 1 remonte en Grand sur le circuit de Mosport. Intervenu à la suite d'un violent accident du pilote français François Cevert. 
La fédération décide finalement d'intégrer officiellement la voiture de sécurité dans ses règlements à partir de la saison 1993.
Pour se distinguer des épreuves nord-américaines, la FIA opta pour la terminologie anglaise « safety car » et non « pace car ».
Pour les 24 heures du Mans, les pace cars sont utilisé dans les années 1930, 1950 et 1960. L’ACO a instauré l'utilisation de la safety car à partir de l'édition de 1981. En 2016, trois safety cars peuvent intervenir en même temps pour la neutralisation de la course en trois secteurs avec près de 30 pilotes mis à disposition sur la durée de l'épreuve.
 
Dans les épreuves américaines, l'usage de la voiture de sécurité est beaucoup plus répandu qu'en Europe. Cela s'explique en partie par la configuration des tracés, qu'il s'agisse de circuits ovales ou de circuits en ville, la piste est plus facilement obstruée en cas d'accident que sur un circuit routier classique possédant de vaste dégagement.

Nascar

Dans les disciplines de la Nascar, comme le Daytona 500, où la majorité des courses se dispute sur circuits ovales, l'utilisation de la pace car est régulière, avec plusieurs neutralisations à chaque course. Outre le départ de la course, lancé sous pace car, ces neutralisations sont utilisées lors d'un accident, ou lorsqu'il y a un débris sur la piste, permettant ainsi aux commissaires de piste de travailler en toute sécurité.
 

28 janv. 2023

PROTO Ouvert ou fermé

AVEC OU SANS TOIT !

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Les qualités

Spider : Absence de problèmes liés à l'habitacle
Buée, chaleur, essuie-glace, visibilité et rapidité dans les changements de pilotes plus simple et plus rapide.

une voiture ouverte ?
" c'était plus dur, notamment en cas de mauvais temps. Il fallait gérer les visières, ce qui peut paraître anodin, mais c'est un détail qui a son importance. Au Mans, tu partais avec une visière fumée avant 22h pour contrer le soleil et tu terminais à minuit en pleine nuit. Il fallait avoir un casque prêt avec la bonne visière. A contrario, on avait plus d'air quand il faisait chaud mais on était plus exposé."

 

Voiture fermée : Plus grande rigidité du châssis, meilleure vitesse de pointe… sans parler du look, mais depuis que le règlement a allongé la durée des changements de pneus, ce gain de temps n’est plus utile.
 
Un toit et un pare-brise offrant une meilleure protection au pilote.

  

PIT STOP

 

Pit stop

Le Mans se gagne sur la piste, et se perd dans les stands...


La clé des relais

Au stand, quatre mécanos sont dévolus au changement de pneumatiques, une tâche intense et explosive qui nécessite une bonne préparation physique avec un physiothérapeute ; un autre, le « refueler », se charge du ravitaillement en carburant ; un « pompier » de l'extincteur ; un aide facilite l'extraction du pilote de l'habitacle ; un dernier est préposé au nettoyage du pare-brise (pour les voitures fermées) ainsi que les phares.

Du simple au double

Le temps passé lors d'un pit-stop standard peut passer du simple au double, selon l'efficacité de l'équipe et selon que l'auto est ouverte ou fermée.
« Un pit-stop standard prend 50''

On considère qu'il nous faut 28'' pour faire le plein, plus 28'' pour changer les roues, on charge 85 litres d'essence.


HUILE Moteur


 L'HUILE MOTEUR

Toutes les pétrolières impliquées en Formule 1 envoient à chaque Grand Prix au moins un ingénieur qui doit effectuer plusieurs analyses au courant du week-end pour s'assurer que les huiles et lubrifiants effectuent correctement leur travail.

Sur le circuit.

Entre 20 et 30 barils de 50 litres de carburant par équipe, et une trentaine de litres de lubrifiants

Premier démarrage des moteurs
La quantité d’huile à mettre dans les moteurs, et les voitures sont ensuite démarrées.

Un premier niveau d’huile, obtenu sur un régime stabilisé à 7000 tours/minute pendant 5 à 7 secondes, constitue le niveau de départ.

Aussitôt après l’arrêt du moteur, analyse de l’huile avec le spectromètre. En 40 secondes, on obtiens la teneur et la quantité de métaux passés dans le lubrifiant.

POSITION Pilote

 

La position de conduite d'un pilote

Contrairement à une voiture (même sportive), on ne s'assoit pas à bord d'une Formule 1. On y est installé avec les jambes quasiment au niveau de la tête !

Les Formule 1 sont les automobiles les plus performantes de la planète.

Développant un peu moins de 1000 chevaux, elles bénéficient d'une efficacité colossale sur circuit grâce à un très haut niveau d'appui aérodynamique, des pneus ultra-performants et un châssis ultraléger. 

Dans une Formule 1, on s'installe avec le bassin au plus bas et les genoux quasiment au niveau du cou (voir schéma ci-dessous). Une position qui donne l'impression d'arriver à peine à voir la route tellement l'assise est basse et déroutante.

Un pied sur chaque pédale

Précisons par ailleurs que comme en karting, ces Formule 1 imposent d'avoir chaque pied sur une seule pédale : celui de droite sur l'accélérateur et celui de gauche sur le frein. Impossible donc de freiner du pied droit en Formule 1 comme dans une voiture classique. Et freiner du pied gauche, ça fait tout drôle au début...

Comment définit-on ces points de freinage ?
Ils varient selon le type de voiture que l’on pilote, selon le grip aussi - qui évolue et qui n’est pas le même partout selon la météo. Le circuit n’est pas permanent et emprunte une partie de routes départementales… Après avoir trouvé ses repères de freinage de base, on ajuste selon qu'on est dans un tour d’attaque ou de gestion. Mais on n’ajuste pas de 80 mètres !
Indianapolis, c'est surtout un piège à éviter car on a toujours l’impression de ne pas en mettre assez. Alors on repousse la limite mais il est très facile de partir à la faute. Le vrai juge de paix sont les virages Porsche. Ils sont longs, compliqués avec une vraie trajectoire à travailler. La première chose à faire est de regarder au loin pour voir s’il y a une GT en piste ou pas. Si la voie est libre, on sait qu’on va lâcher les chevaux. Après, c’est le tour de manège, d'autant qu'il y a une bosse dans « le droite » et une dans le gauche qui déstabilisent la voiture !
Si vous deviez tout tenter pour signer la pole position, ce serait où précisément ?


Aux 24 heures du Mans 

Le circuit est typé très haute vitesse, avec beaucoup de lignes droites à plus de 300 km/h avec des pointes à 350.
Une erreur de 5 mètres à ces vitesses est fatale. Le plus important est donc de se fixer des repères de freinage.


Piloter un proto aux 24 heures du Mans 

Il faut déjà de la résistance. Au freinage, on prend 3G c’est-à-dire que poids du corps est multiplié par trois. Dans les virages, on subit aussi les accélérations avec l’appui aérodynamique et le grip de la voiture. Ça fait de fortes contraintes latérales, là aussi jusqu’à 3G. Il faut tenir sa tête, ses bras, ses jambes.
 
Sur un relais de deux heures, le rythme cardiaque est à 145-150 de moyenne.
On perd aussi énormément d’eau. Dans le cockpit on a connu jusqu’à 60° dans la voiture.


Des phases d’apnée

Il y a des phases d’apnée. Sur un tour au Mans en 3’30’’, représentent, selon les profils, 30 secondes à une minute. Elles ont lieu pendant un freinage ou à l’inscription dans un virage, quand on veut vraiment apporter de la précision.
On est dans la durée, ce sont des efforts de quelques secondes qui se répètent. L’acuité visuelle est importante mais ce qui compte plus c’est le champ de vision.
La position de pilotage est très importante. Quand on va faire un effort, si on n’a pas la bonne position, le geste va être mauvais ou on va se faire mal.
C’est important de trouver une bonne position dans l’espace qui nous est imparti. Il y a quand même un compromis à trouver entre les trois pilotes, qui n’ont pas forcément toute la même morphologie.
Le baquet épouse notre corps, les cuisses jusqu’aux épaules. Le harnais six points qui nous verrouille dans le baquet. Le but, c’est de bouger le moins possible. On a peu d’amplitude de mouvement ; appuyer sur les pédales pivoter légèrement le cou. Les mains ne bougent pas sur le volant.

 

CONCEPTION pneu

 

Pneu de compétition !

Conception

Un manufacturier, d'usines consacrées à la production de gommes de compétition. 
Chaque année, 350 types de pneus de compétition sont produits et ils concernent des championnats divers et variés (360 au total pour deux ou quatre roues)
La particularité de cette usine est qu'elle ne ferme jamais car elle produit course par course. Pour faire un pneu de compétition, 37 composants sont nécessaires et sa fabrication d’une durée de 10 à 12 jours tourne autour de trois phases.
Divisé en quatre blocs bien distincts, les matières brutes envoyées à l’usine y sont testées. Parmi elles, on trouve du caoutchouc, bien entendu, mais aussi du noir de carbone, de la silice, des composants chimiques, des huiles, du textile et de l’acier. A chaque étape de ces contrôles, des échantillons de chaque composant sont prélevés et testés. Selon certaines spécifications, à tour de rôle, la viscosité, l’adhésion, la dureté, l’élasticité ou encore l’allongement sont vérifiés. 

Le laboratoire :

La partie la plus importante se déroule dans un bâtiment de 20 000 m². Les éléments une fois mélangés, la phase 1 peut commencer : l’épaulement et la carcasse. Elle est fabriquée manuellement car très importante, étant l’essence même du pneu. Cette dernière est faite en appliquant différentes bandes de gomme autour d’une sorte de tambour pour obtenir un cylindre au diamètre d’une jante. On compte 25 éléments différents fixés à ce stade. Evidemment, l’un des éléments les plus importants est de chasser l’air encore dans chaque couche.
La deuxième étape consiste à y inclure ce qu’on appelle la ceinture (anneaux métalliques) et la bande de roulement. Sur la carcasse sont ajoutés ces deux éléments qui sont ensuite compressés. Notre cylindre est alors galbé. A chaque de ces étapes et pour toutes les suivantes, un code barre est appliqué sur chaque enveloppe. A chaque fois, il est scanné pour vérifier l’historique du pneu.
Il reste alors une phase importante car les différentes couches de caoutchouc n’adhérent pas encore les unes aux autres. Il faut alors les vulcaniser, c'est « la cuisson du pneu ». A ce stade, le pneu est placé dans un moule et va être gonflé en lui injectant de la pression vapeur (ou cela peut aussi être avec de l’hydrogène) puis cuit. Cela peut aller jusqu’à 200°.  

Les contrôles

Les contrôles « La qualité est la chose la plus importante ici ! » Les pneus sont vérifiés à n’importe quel moment. 
L’enveloppe est contrôlée visuellement. comme que son poids environ 12 kilos par pneu.
Le pneu est ensuite passé au rayon X. Cela permet de le mesurer afin de vérifier qu’il est à la bonne dimension, qu’il est bien et que les matériaux répondent aux caractéristiques souhaitées.

L'aspirateur

Le troisième contrôle est appelé « l’aspirateur ». C’est un test important car on va chercher à détecter d’éventuelles bulles, ce qui est l’une des choses les plus dangereuses si décelée. Si tel est le cas, le pneu est immédiatement retiré de la chaine. 
La quatrième étape vérifie la variation de force, la circonférence du pneu, la charge supportée, l’équilibre et la géométrie.
Il passe après au Super Contrôle. Il s’agit d’un contrôle visuel, le but étant de voir si toutes les différentes étapes ont été bien faites et correctement enregistrées.
Ce n’est qu’une fois ce long processus achevé que les gommes sont alors stockées, prêtes à être expédiées ...

C'est environ 1 800 pneus sur chaque Grand Prix de F1

Une fois sur le circuit, les pneus sont alloués aux équipes selon une application stricte.

5 jours avant le GP :

Les monteurs commencent à placer les pneus sur les jantes. Un monteur expérimenté aura besoin de 2 minutes 30 secondes pour assembler un pneu de A à Z. Il faut ainsi deux jours pour monter tous les pneus du weekend.

Pendant le weekend de GP :

Les pneus restitués sont débarrassés de leurs jantes et ne seront plus utilisés. Les jantes sont rendues aux équipes.

Après le GP :

Tous les pneus restants, utilisés ou pas, sont démontés. A l’arrivée, les pneus sont emmenés sur un site spécial où ils sont laminés puis brûlés à très haute température afin de produire le carburant d’usines de ciment. Le matériel produit lors de ce processus est utilisé pour la surface des routes ou d’autres applications industrielles.



CONTROLE

 

Contrôle des F1 au laser

La fédération a adapté des outils de contrôle aux nouvelles voitures de courses depuis 2022.

Le règlement aérodynamique des voitures est devenu beaucoup plus complexe.

Un système de balayage électronique à la pointe de la technologie. 

1 un contrôle rapide où nous examinons les paramètres de base, la largeur et hauteur, pour s’assurer que la voiture ne roule pas trop bas.

2 un contrôle plus détaillé où nous scannons toute la surface de la voiture, ce qui prend un peu plus de temps. Vérification des voitures sur ordinateur pour assurer qu’elles satisfont à toutes les contraintes géométriques.
Ensuite, la voiture est scanné par un transpondeur qui détecte la position d’un appareil tenu par l’un des commissaires.


23 janv. 2023

PORSCHE 917

 
PORSCHE 917


Pendant les premiers tests, on calcula que Derek Bell, à bord de la Porsche 917LH, engagée pour l’usine par l’écurie John Wyer Automotive, avait atteint 396 km/h dans les Hunaudières !
 
Conçue par Ferdinand Piëch, le petit-fils de Ferdinand Porsche, la Porsche 917 est muni d'un moteur V12  de 4,5 litres de 530 ch.
La légèreté et l'aérodynamisme sont recherchés en priorité. En conséquence, l'appui aérodynamique de la Porsche 917 se révèle tellement faible la première année que les pilotes craignent de la conduire sauf Rolf Stommelen.
 
Au total, 65 Porsche 917 sont construites par Porsche dont 44 coupés longue queue ou courte, 2 Spyders PA et 19 Spyders.
 
En 1970, la 917 devient la première Porsche à remporter les 24 Heures du Mans au général. En 1971 elle bat le record de distance dans cette même épreuve avec 5 335,31 km parcourus (soit plus de 222 km/h de moyenne), record qu'elle a détenu jusqu'en 2010, avec un reccord de vitesse de 396 km/h dans les Hunaudières avec J Oliver.
 
Par ailleurs, Porsche détient le record de victoires au Mans avec 19 succès.

OSELLA

Osella Corse

Osella Squadra Corse 

Italia

Osella

Italia

création Enzo Osella


 Osella PA1

Enzo Osella

« Prototipo Alberto »

châssis N°1


Palmarès

Championnat d’Europe de Formule 2

1979 Vice-champion

 

Championnat d’Italie des courses de cotes

1982 à 1988 champion

 

Championnat d’Europe des courses de cotes
 1985 à 1988 champion
 1993 à 2002 champion 


132 GP Formule 1 châssis disputés et 10 GP Moteurs



 Chronologie des pilotes

FF

Formule 2

1974 Merzario
1975 Truffo, Flamini, Francia, Migault
1976 Francia, Migault, Binder, Gianfranco

1979 Cheever
1980 Cheever, Rocca

Formule 3
1976 Necchi, Rosei, Witz

Procar Bmw M1
1979 de Angelis, Giacomeli, Cheever

 Osella Squadra Corse
  Formule 1
1980 Cheever
1981 Guerra, Ginzhani, Francia, Gabbianni
1982 Guerra, Jarier, Paletti
1983 T Fabi, Gartner
1984 Ginzhani, Gartner
1985 Ginzhani
1986 Ginzhani, Caffi, Danner, Berg, Capelli
1987 Caffi, Forini, Tarquini
1988 Larini
1989 Ginzhani, Larini
1990 Grouillard, Tarquini
1991 Grouillard, Tarquini

  Fondmétal
Rumi est le repreneur
1991 Grouillard, Tarquini
1992 V Poele, Tarquini, Chiesa


  Coupe Alfa 3 litres France
1992 Gache, Dillman
1993 Tarres, Faure, Miot
1994 Tarres, Guibbert

  Voitures de sport 2 litres
Châssis Abarth-Osella
1971 Venturi
1972 Bell, Merzario
1973 Bell, Merzario, Quester, Pianta
1974 Bell, Merzario, Lafosse, Craft, Brambilla V, Rica

Voitures de sport
1976
Merzario, Palazzoli, Valtellina, Berusiglio
1977
Francia, Quester, Artina, L Lombardi
Touroul, Cudini, Anzeloni, Cambrachi
1978
Dougall, Quester, Walkinshaw
1979
Francia, L Lombardi, Anzeloni
1980
Francia, Rocca, L Lombardi, Brambilla V, M Tatcher
(fils de la dame de fer)
1981
Francia, L Lombardi, Gabbianni
1982
Francia
1984
Frank, Ginzhani, Fabi C
1996
Mancini, Drudi, Taverna
1999
Taverna


Gr5 allemagne
Châssis Bmw 320
1978 Francia, Cheever


 Canam
1977 G Villeneuve
1982 J Villeneuve


Tests
Formule 1
1983 Tabaton
1984 Fangio 2
1986 Barbazza
1989 Grouillard, Bertaggia
1990 Belmondo

Story
Enzo Osella (né le 26 août 1939 à Cambiano, décédé le 27 septembre 2025) est un ingénieur, pilote et entrepreneur italien, mondialement connu comme le fondateur de la marque et de l'écurie Osella .
Belle réussite pour se fils de garagiste, Osella c'est l'art d'essayer de faire du neuf avec du vieux.

Symbole du garagista italien, il a consacré plus de 50 ans à la compétition, de la course de côte à la Formule 1, en passant par le sport-prototype et la Formule 2.

Issu d'une famille de petits entrepreneurs de la région de Turin, Osella commence sa carrière comme copilote puis pilote en rallye et cours de côte à la fin des années 1950.

Très tôt technicien, il rejoint la firme Abarth au début des années 1960 : il y apprend la préparation et la conception de voitures de course sous l'égide de Carlo Abarth , tout en continuant à courir.

En 1965, il fonde son propre atelier à Turin, prépare ses premiers prototypes et obtient rapidement des succès régionaux.

En 1971, lors du rachat d'Abarth par Fiat, Enzo Osella récupère le département course, les infrastructures et certains techniciens : Osella Corse naît ainsi officiellement.

Prototypes sportifs : succès immédiat avec la Abarth-Osella SE021 (victoire au championnat d'Europe Sport 2 L en 1972), puis développement de nombreuses barquettes PA (PA1 à PA20), engagées avec succès en championnat italien,
 
européen et sur des courses d'endurance (Targa Florio, 6 Heures de Pergusa, etc.).

C'est Osella et Ron Dennis qui produisent les Bmw M1 séries Procar.​

À partir de 1980, Osella engage sa propre structure en Formule 1 sous le nom Osella Squadra Corse  :

132 Grands Prix disputés (1980-1990) avec, comme meilleurs résultats, un podium (3e place)

Les pilotes les plus notables furent Jean-Pierre Jarier , Piercarlo Ghinzani , Jo Gartner et Eddie Cheever .

Faute de moyens, Osella doit souvent engager des monoplaces « bricolées », parfois datées de plusieurs saisons, n'enlevant rien à l'ingéniosité du staff ni à la ténacité du fondateur : Enzo Osella s'est souvent appuyé sur l'appui discret d'Enzo Ferrari.

Suite à la disparition du Commendatore Ferrari et face à l'augmentation des budgets F1, Osella revend en 1990 son équipe à Gabriele Rumi (Fondmetal).

Osella revient alors à ses premiers amours 

Construction et développement de prototypes sportifs et de barquettes de course de côte (modèles PA20, PA21 Evo, etc.).

Il encadre les pilotes italiens en cotes, bilan 7 titres de champion d'Italie et 14 titres européens.

L'entreprise (installée à Verolengo) emploie une petite équipe, produisant 5–6 châssis/an pour des clients italiens et européens, poursuivant la lignée originale du constructeur.

Osella est mort en 2025 à l'âge de 86 ans, mais son nom demeure dans les paddocks d'Europe grâce aux innombrables prototypes de course et de côte qui portent sa griffe